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Prae-cum | |||
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Nous avons vu (ici)
à quel point les lettres PS associées au mot, composé
ou non, de PRAE-CUM sont indispensables au codage et
du grand parchemin et de la stèle de Blanchefort pour
finalement obtenir notre célèbre phrase :
"Bergère pas de tentation ..." Voici à son propos une tentative de chronologie, occasion aussi de voir se mettre en place notre histoire. |
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Tous les documents cités
ici sont consultables gratuitement, dans leur
intégralité d'origine et en accès "non restreint" à
cette adresse : http://www.asso-rlcdoc.dafun.com/
1962 Dans une série d'interviews Noël Corbu, le propriétaire en viager depuis 1946 du domaine de Bérenger Saunière, lance des appels pour retrouver deux pierres gravées soi-disant emportées à Paris par M. Ernest Cros : la dalle dite de Blanchefort et la pierre de Coumesourde. En en donnant la description approximative, s'il ne cite absolument pas le " Et in Arcadia..", il mentionne bien les Prae-cum. Par contre, Il ne semble avoir aucune connaissance de l'épitaphe de la dame de Blanchefort, effacée pour lui par l'abbé Saunière. Le document attribué à Ernest Cros semble bien être sa seule source d'information. Nous sommes cinq ans avant la parution du livre de Gérard de Sède et dans l'esprit du principal chercheur de cette histoire, celui qui vit au cœur même du domaine et des documents laissés par le "curé aux milliards", ces pierres gravées sont encore aussi floues que la personnalité réelle de notre diable au bénitier qui n'est pas encore Asmodée. |
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1964
ou 65 On découvre ainsi que Philippe de
Chérisey comptait donner au second chapitre de son
ouvrage "Circuit",
commencé
en 1964, le titre de : "Prae-cum" ! Couvrant 22
chapitres de notes dites "interchangeables", ce que
suggère en effet l'expression "avant-avec",
traduction littérale du latin. |
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1965 : |
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1966 |
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1967 Le bouquet final ! |
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Le 27 avril 1967 est date de dépôt "Des dossiers Secrets d’Henri Lobineau" à la Bibliothèque Nationale avec des reprises d'éléments comme le faux blason des Plantard qui fut dessiné par la supposée Madeleine Blancasall et l'est par Pierre Plantard, lui-même. La pierre dite "des Chevaliers" est maintenant découverte par Eugène Stublein ! Erreurs et incohérences signent ces reprises successives de la même main, appendice d'un cerveau maladroit. "Au pays de la
Reine Blanche" de Philippe de
Chérisey est déposé à la Bibliothèque Nationale le
30 octobre 1967 sous le pseudonyme de Nicolas
Baucean. |
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Par contre, nous les
retrouvons en entier et maintenant en un seul mot pour
Praecum dans le
prétendu relevé d'une pierre trouvée à Coumesourde par
Ernest Cros en 1928 et que personne à ce jour n' a pu
voir, dans le petit parchemin où le PS semble former
signature et bien sûr sur la dalle "In Arcadia", à la
provenance fluctuante. Sur la pierre de
Coumesourde comme sur les représentations de la
stèle de Blanchefort avec le rajout du PS-Praecum.
Le praecum s'écrit maintenant en un seul mot. |
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La dalle
de Coumesourde attribuée |
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Pour d'autres, le terme voudrait dire "priez pour nous" mais en latin ce serait plutôt precum en un seul mot. Enfin, "Près de Coume" fut aussi évoqué par assonance et rapport au lieu hypothétique de la découverte qui a l'avantage en effet de laisser planer le doute sur un mot décidément bien incompréhensible.
Christian Attard |
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Notes et sources : (1) Robert Charroux : Trésors du monde enterrés, emmurés, engloutis - Éditions J'ai lu - L'aventure mystérieuse N° A190 page 275. |
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Retour vers la Reine | |||
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